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April, May pour Monoprix

April, May pour Monoprix

C'est la petite marque qui monte ! April, May débarque dans les rayons Monop' avec une collection de 15 pièces à prix mini dès le 10 septembre. Essayage avec la jolie créatrice, Diane Goldstein.

April, May est la petite marque dont on va entendre beaucoup parler cette année !

Preuve en est, la nouvelle collection pour Monoprix disponible en boutique dès le 10 septembre. Après Ba&sh et No Collection, c'est au tour de la marque très inspirée de Diane Goldstein, tout juste 32 ans, d'investir les rayons femmes et enfants de l'enseigne. Revue de détails avec cette jolie blonde, pétillante et très nature...

 

C'est le style que je porte au quotidien,

mais aussi celui de mes copines, aux styles divers et variés, qui réinterprètent ma mode selon leurs envies...

 

Racontez-nous votre parcours mode...

J'ai d'abord obtenu le Grand Prix de l'Esmod, où j'étais en formation stylisme et modélisme, puis j'ai intégré la prestigieuse école de la Central St-Martins School à Londres. Un vrai challenge pour moi ! Et en même temps, dans cette ville, tout me semblait possible. Le style décalé des filles de la rue m'a beaucoup inspirée. J'ai fait mon premier stage chez Hussein Chalayan, très axé sur la construction architecturale. En rentrant de Londres, je suis tombée en arrêt devant la boutique Paul & Joe, qui n'était pas encore connue : la multitude de couleurs, les liberty tranchaient avec l'ère du minimalisme et du noir. C'est là que j'avais envie de travailler ! Au début des années 2000, j'ai beaucoup appris au côté de Sophie Albou, qui a su lancer une identité à contre-courant.

Vous avez commencé sous votre nom par une ligne de sacs. Les vêtements vous ont ensuite rattrapés ?

J'ai créé un premier sac pour moi. Puis mes copines m'ont encouragée, Sophie Albou également, en vendant ma collection dans ses boutiques. L'histoire était lancée ! J'ai imaginé une ligne de sacs à mon nom, très chic, en agneau plongé. J'ai très vite été vendue au Bon Marché, chez Barney's à New York. L'aventure a duré trois ans avant la création en 2005 d'April, May avec mon mari Yohan.

D'où vient le nom April, May ?

L'histoire est simple : je suis très sensible à la numérologie et comme je suis née en avril, Yohan en mai, le nom de notre " bébé " était tout trouvé.

Vous travaillez avec votre mari, Yohan. Comment partagez-vous les tâches ? Lui arrive-t-il de vous dire : "Ce matin, je n'aime pas ta tenue !"

Mon mari s'occupe de la production de la marque, Aurélie gère le développement commercial, et tous les deux me donnent leur avis sur les collections...Plus que sur ma tenue, Yohan me conseille sur la collection : telle pièce trop chère, importable... Son avis m'est précieux.

Comment définiriez-vous le style April, May ?

Si le style des débuts était très girly, il a évolué vers une tendance tayloring, urbaine chic. Je cherche à faire des modèles, à la fois faciles à vivre et chics. On doit se sentir à l'aise et en même temps affirmer sa féminité. Je sélectionne toujours de beaux tissus, comme le satin duchesse, le crêpe de chine, des mailles duveteuses, je m'attache à apporter des détails précieux qui font toute l'originalité du vêtement.

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