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Les dieux du Stade nous font-ils (vraiment) rêver ?

Les dieux du Stade nous font-ils (vraiment) rêver ?

Cette année encore nos Dieux du Stade reviennent avec leur calendrier, alors, on achète ou pas ?

Le nouveau calendrier des dieux du Stade, qui fête ses 15 ans cette année, sort ce mois-ci avec en couverture le demi de mêlée Morgan Parra et à l’intérieur ses comparses rugbymen Jules Plisson et Hugo Bonneval, mais aussi et entre autres les frères handballeurs Karabatic ou le footballeur Djibril Cissé.

Certaines d’entre nous vont se jeter dessus pour égayer le mur de leur bureau. Mais au fond, est-ce que les Dieux du Stade nous plaisent tant que ça ?

D’un point de vue personnel, je vais vous avouer que non, les sportifs mis en scène dans ce fameux calendrier ne me touchent pas. Trop artificielles, trop posées, les photos de ces athlètes sont tellement dans l’esthétisme qu’on en perd notre bestialité. Oui parce que ne nous voilons pas la face, les muscles parfaitement bandés, les poils des aisselles coupés, les torses parfaitement épilés et les poses langoureuses… ben non, ce n’est pas du tout ce qu’on attend d’un rugbyman !

Quand je regarde un match de rugby, ce qui me plait c’est quand même de voir les mecs se rouler dans la boue, se mettre des beignes dans la face, se défoncer en mêlée dégoulinant de sueur, moulés dans leur maillot et leur short. Là, oui, les mecs me font rêver.

Je ne bouderais pas mon plaisir si l’un de ces gladiateurs venait frapper à ma porte… c’est vrai, avouons-le, après une petite douche et un brin d’eau de toilette ! 

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