5 réflexions que je ne veux plus jamais entendre sur mes seins

Par ma mère, mes copines, le vieux pervers du métro ou par n'importe qui, le prochain qui dit du mal de mon bonnet E le fera à ses risques et périls.
5-reflexions-que-je-ne-veux-plus-jamais-entendre-sur-mes-seins

Si tu as mal à dos, c'est parce que tu as de gros seins
Merci maman, mais malheureusement, je suis faite comme ça. Je ne vais pas renoncer à ma poitrine juste pour soulager quelques douleurs dorsales. D'ailleurs, mon kiné dit que ça n'a rien à voir, que c'est juste parce que je travaille trop sur mon ordinateur. Bim.
Ohlala mais ils sont ENORMES ! Ils ont toujours été comme ça ?
Oui, bien sûr, je suis née avec des obus. Bien sûr que non, ils n'ont pas toujours été comme ça. Mais depuis l'adolescence, j'ai été gâtée par mère nature. C'est comme ça. Et non, il ne sont pas faux non plus.
Ils sont magnifiques !
Certes, c'est gentil. Mais à moins que ce compliment ne sorte de la bouche de mon mec, c'est tout simplement déplacé. Et ça vaut pour le barman, le pervers du métro et le mec qui me demande son chemin depuis sa voiture.
Tu as déjà pensé à la réduction mammaire ?
Désolée ma chérie, mais le 95B, très peu pour moi.
Mes seins ne sont pas difformes, ils sont juste plus gros que les tiens, et parfaitement adaptés à ma silhouette. Alors chut.
J'ai envie de mettre ma main / langue / b*te dedans
NON, NON ET NON.
Ce n'est pas parce que j'ai une grosse poitrine que je dois accepter d'être la cible de réflexions perverses. Ce n'est jamais agréable, et on appelle ça du harcèlement. Oui monsieur.