Ce réflexe du soir en novembre 2025 qui allège la facture d’électricité sans débrancher un seul appareil, et que les foyers ignorent encore
Un clic avant de dormir suffit à freiner des dépenses invisibles. La facture baisse, le confort reste, l’idée surprend.
Entre le retour du froid, les soirées plus longues et des prix de l’énergie scrutés de près, chaque kWh évité compte cet automne. Dans bien des salons, des appareils restent branchés et prêts à repartir, même éteints. On n’y pense pas forcément, car rien ne clignote ou ne chauffe franchement. Pourtant, ces petits consommateurs tapissent nos prises.
Le sujet n’a rien d’anecdotique. Au fil des nuits de novembre, les veilles s’additionnent et finissent par peser sur le budget. Un simple réflexe suffit à inverser la tendance. Vraiment simple.
Les veilles cachées qui gonflent la facture d’électricité, sans bruit
Dans un foyer, on regarde surtout les postes visibles: les lampes, le four, le chauffage. Mais l’électricité se faufile ailleurs. Télévisions, ordinateurs, box internet, micro-ondes, consoles, enceintes, chargeurs… en veille, ces appareils restent partiellement actifs. Ils attendent un signal, gardent des fonctions prêtes, consomment un filet d’énergie dont on ne se rend pas compte.
Sur une année, ces veilles cachées peuvent peser lourd. Les chiffres le rappellent: jusqu’à 10 % de la consommation d’un foyer part littéralement en attentes silencieuses. Le phénomène se renforce en fin d’année, quand on passe plus de temps à la maison et que l’on multiplie les branchements. Et on paie sans s’en rendre compte.
Regardez autour de la télé, du bureau, du coin lecture. Si les prises débordent, il y a un gisement d’économies. Le plus dur, finalement, c’est d’y penser tous les soirs.
Le geste du soir avec une multiprise qui coupe tout d’un clic
Débrancher un à un chaque chargeur ou chaque boîtier, on le sait, c’est pénible. Sauf que la solution la plus simple tient dans une multiprise avec interrupteur. On regroupe les appareils secondaires dessus, puis on coupe l’alimentation d’un seul geste avant d’aller dormir. Pas besoin de se contorsionner derrière un meuble, pas besoin de chasser la bonne prise dans l’obscurité.
Ce clic stoppe net les veilles des équipements reliés. Le téléviseur, la console, l’enceinte, le lecteur multimédia, la lampe d’appoint… tout s’éteint vraiment. Le lendemain, on rallume la multiprise, et la petite bande reprend du service comme si de rien n’était. C’est discret, rapide, sans contrainte au quotidien.
Pour éviter tout souci, on garde à part ce qui doit rester alimenté la nuit, comme le réfrigérateur ou une box indispensable à une alarme. L’idée n’est pas de tout couper, mais de viser ce qui n’a pas besoin de tourner pendant votre sommeil.
Jusqu’à 10 % d’économies, comment ce réflexe pèse sur les kWh payés
Le gain se voit à l’échelle de l’année. En attaquant les veilles le soir, il est possible de faire baisser la note, jusqu’à 10 % selon l’équipement du logement. L’objectif de ce geste : réduire les veilles cachées et couper les consommations inutiles.
Le mouvement se sent dès maintenant, en novembre, période où l’on reste plus souvent chez soi. Les petits postes s’additionnent: un chargeur de téléphone laissé en permanence, une cafetière en veille, un micro-ondes avec horloge active, un ampli en attente. Ajoutez à cela l’écosystème TV avec ses périphériques, et la réduction devient palpable sur la facture d’électricité.
Sur douze mois, l’économie grimpe facilement à plusieurs dizaines d’euros. Rien d’extraordinaire sur un week-end, bien sûr. Mais semaine après semaine, ça finit par compter. De quoi compenser des dépenses de saison, sans rogner sur le confort.
Bien utiliser la multiprise avec interrupteur, sans gêner le quotidien
Pour que cette habitude s’installe, le plus efficace reste l’emplacement. Placez la multiprise à portée de main, près du meuble TV, du bureau ou du coin lecture. Choisissez un modèle doté d’un interrupteur visible, éventuellement lumineux, pour le repérer dans le noir. Et transformez le clic en geste de soirée, au même moment que la fermeture des volets.
- Regrouper les équipements non essentiels sur une multiprise accessible, et laisser à part le frigo ou une box utile la nuit
- Choisir une multiprise avec interrupteur bien visible pour éviter les oublis
- Positionner la prise où la main passe naturellement en quittant la pièce
- Associer le clic à une routine du soir, pour que le geste devienne automatique
Pour tester sans vous contraindre, mettez uniquement le coin TV ou le bureau sur multiprise et observez l’usage pendant une semaine. D’ailleurs, vous pouvez testez sur un seul espace au départ, c’est souvent suffisant pour prendre le pli. Au besoin, ajoutez ensuite une seconde multiprise pour les appareils secondaires du séjour.
Dernier repère utile: si un équipement sert de réveil ou pilote la domotique, laissez-le sur une prise indépendante. Le reste peut basculer sans risque. En quelques soirs, l’enchaînement devient naturel, presque aussi évident que d’éteindre la lumière avant de filer se coucher. Et vos kWh payés cessent de s’évaporer pendant la nuit.