Ces deux signes astrologiques qui choisissent l’orgueil quand tout vacille, en novembre 2025 une explication trouble refait surface
Mis à jour le 13 décembre 2025
Deux signes du zodiaque préfèrent sauver la face quand tout se défait. Leur fierté change tout, surtout en novembre.
Quand tout semble filer, chacun réagit à sa manière. Certains temporisent et cherchent l’apaisement. D’autres, au contraire, s’arc-boutent, convaincus que céder reviendrait à se renier. Dans l’astrologie moderne qui s’invite partout, des réseaux aux cafés de quartier, le mot qui revient est le même: orgueil. Et il ne laisse personne indifférent.
À l’approche des retrouvailles de fin d’année, la question de l’ego s’invite souvent dans les échanges. Deux signes ressortent pour leur intransigeance face aux coups durs. Tout indique qu’en novembre 2025, alors que les tensions familiales ou professionnelles montent d’un cran, leur réflexe reste inchangé. Et c’est frappant.
Le Lion face à la tempête, ce réflexe d’orgueil qui coûte cher
Né au cœur de l’été, le Lion cultive une présence lumineuse et une fierté assumée. Il se sent responsable de son image, parfois comme d’une couronne invisible. Quand la situation dérape, il redresse la tête, maintient le cap et s’excuse rarement. Pour lui, renoncer ou se dédire équivaut à perdre une part de lui-même.
Ce réflexe impressionne dans les moments de crise. Le Lion conserve sa ligne, il refuse les compromis précipités, il tient sa version. Sauf que ce bras de fer peut finir par isoler. Amis ou collègues espèrent un signe d’ouverture, un aveu de vulnérabilité, un pas vers l’autre. Et souvent, il n’arrive pas. L’entourage s’éloigne, lassé des joutes d’ego.
À l’automne, alors que la vie ralentit et que les soirées s’allongent, ce natif préfère souvent briller seul plutôt que d’admettre une faille. Il craint l’oubli, redoute la gêne, et défend mordicus sa place. Son défi actuel en France, entre repas de famille et projets qui s’enchaînent, tient en une question simple: jusqu’où protéger son image sans s’enfermer dans la solitude?
Le Bélier en terrain glissant, rester debout quitte à s’éloigner
Premier signe de feu, le Bélier agit vite et tranche net. Quand la pression grimpe, il accélère. Il préfère partir la tête haute plutôt que corriger le tir sur le moment. Chez lui, renoncer ressemble à un aveu. À tord, diront certains proches qui le connaissent par cœur et qui attendaient un signe d’apaisement.
Ce tempérament sans détour crée des scènes très françaises: porte qui claque, message bref, silence radio jusqu’à nouvel ordre. En novembre, quand les plannings se tendent et que la fatigue grignote la patience, ce fil rouge ressort encore. Le Bélier ne négocie pas facilement sa fierté, même si l’issue semble écrite.
Rester cohérent avec soi-même l’aide à tenir, c’est vrai. Mais son entourage se heurte à une muraille. Un mot de trop, une blague mal reçue, et la cassure devient réelle. L’enjeu, pour lui, consiste à exprimer sa force sans écraser la relation. Car la ligne est fine entre cohérence et entêtement, et elle bouge vite quand l’émotion domine.
Orgueil ou paix intérieure, ce que ces deux signes nous donnent à voir
Le Lion et le Bélier partagent un point commun: ils vivent l’attaque personnelle comme une alerte maximale. Dès que l’ego vacille, ils verrouillent. À l’inverse des profils plus conciliants, ils estiment que céder reviendrait à se trahir. La question qui revient dans toutes les conversations d’automne : faut-il préserver sa dignité coûte que coûte ?
À l’échelle du quotidien, les scénarios se ressemblent. Les proches attendent une main tendue; elle tarde. Les collègues espèrent une discussion; elle dévie. Et quand la tension retombe, chacun reste chez soi, convaincu d’avoir agi pour le mieux. Ce fonctionnement, bien ancré, suit une logique interne qui n’a rien d’un caprice.
Dans la pratique, on observe souvent chez ces deux signes des situations récurrentes qui renforcent le malentendu autour de l’orgueil:
- Refuser de s’excuser sur le moment, même pour apaiser une scène qui dérape.
- Préférer partir plutôt que d’accepter un compromis jugé trop coûteux pour l’image de soi.
- Assumer l’isolement temporaire au lieu de rouvrir la conversation trop vite.
Rien d’irrémédiable, pourtant. Le Lion ne perd pas sa superbe en admettant une maladresse, il y gagne souvent en respect. Le Bélier ne renie pas sa force en recontactant après coup, il montre qu’il sait reprendre la main. En ce mois de novembre 2025, à l’heure des invitations et des agendas qui se calent, ce duo rappelle une évidence très simple: tenir à soi n’empêche pas d’écouter l’autre.
Les proches, eux, peuvent exprimer le fond sans attaquer la forme, proposer un moment au calme, ou laisser un peu de temps avant de relancer. Ce cadre clair n’enlève rien à la personnalité flamboyante de ces signes. Il offre un espace moins abrasif, où l’ego respire et la relation circule à nouveau.