Ce luminaire IKEA à 79,99 euros fascine les décorateurs: un miroir lumineux qui donne au salon des airs de galerie d’art
Un objet design sème le trouble chez les fans de déco: un simple luminaire qui change tout, avec un effet inattendu.
Quand les journées raccourcissent, la lumière devient la pièce maîtresse de la maison. On le voit chaque automne: certains luminaires transforment immédiatement une ambiance, quand d’autres se font oublier malgré un abat-jour coloré. Les décorateurs, eux, misent sur des formes sculpturales et des jeux de reflets pour créer du relief, sans surcharger la pièce. Le but reste le même: réchauffer l’espace et signer un style sans faire grimper la facture.
Dans ce mouvement, une référence s’impose depuis des semaines sur Instagram et dans les vitrines françaises: l’applique miroir et LED VARMBLIXT imaginée pour IKEA par la designer néerlando-néo-zélandaise Sabine Marcelis. Sa promesse séduit tout le monde, du studio parisien au deux-pièces: une allure de galerie d’art, un halo doux, et un prix affiché à 79,99 euros. Le succès s’explique.
Ce luminaire IKEA signé Sabine Marcelis qui intrigue les décorateurs
La pièce tient autant de la lampe-miroir que de l’objet d’art. Sa silhouette ovale et son surface réfléchissante captent la lumière et dessinent un point focal net dès l’entrée dans la pièce. La particularité vient du chemin lumineux: quand la LED traverse le miroir, elle génère des reflets mouvants sur les murs. De quoi animer un couloir, un coin lecture ou un salon, surtout à l’heure où l’on cherche des ambiances enveloppantes en fin de journée.
Pensée pour un usage quotidien, la face miroir reçoit une pellicule anti-éclats. La source LED est intégrée mais peut être remplacée si besoin. Côté consommation, la marque met en avant une économie d’environ 85% en moyenne par rapport à un éclairage standard, avec une durée de vie annoncée jusqu’à 20 fois plus longue qu’une ampoule classique. Dans un contexte 2025 où l’énergie et le budget restent scrutés, l’argument pèse dans la balance.
La teinte bronze, légèrement irisée, participe à l’effet cocon sans virer au clinquant. Le variateur d’intensité intégré fait le reste: on module l’ambiance selon le moment, du dîner intimiste à l’apéritif avec amis. Et surtout, on évite la lumière plate qui écrase les volumes. Sur un mur blanc, terracotta ou vert sauge, le rendu prend une dimension arty immédiate.
Le détail miroir et le variateur qui changent tout dans un salon français
La collection VARMBLIXT a été pensée pour créer un lien direct entre art et quotidien. Sabine Marcelis s’est inspirée des jeux de lumière de l’architecture contemporaine: l’interaction miroir - LED produit des reflets uniques qui varient selon l’heure et la position du regard. Sans travaux ni installation complexe, l’applique ouvre un dialogue visuel avec le reste du décor - et c’est ce qui séduit les pros.
Concrètement, l’objet se suffit à lui-même dans un intérieur sobre, mais fonctionne aussi en duo ou en composition. La forme ovale adoucit les lignes des meubles rectilignes, tandis que la finition bronze répond bien aux matières de saison: bois clair, céramique brute, lin, laine bouclée. Sauf que l’effet tient autant à la mise en scène qu’au produit en lui-même.
- Créer une installation: disposer deux ou trois appliques à différentes hauteurs pour un effet galerie sur un pan de mur.
- Jouer le reflet: placer l’objet près d’un miroir mural pour amplifier la lumière dans une entrée étroite.
- Balancer l’ambiance: utiliser le variateur en mode tamisé pour une lecture, plus vif pour un dîner.
- Dialoguer avec l’art: aligner l’applique face à une photo ou une série de cadres pour un jeu de perspectives.
Astuce simple: marier le halo feutré avec des textures chaudes. Un plaid en laine bouclée, un vase en grès, un tapis à poil court, et l’ensemble gagne en relief. À rebrancher et installer, l’objet s’adapte sans forcer: vous allez l’adorer, c’est sur.
Le buzz 2025 sur Instagram et chez les pros: pourquoi VARMBLIXT s’impose
Dans les magazines déco et sur les comptes d’architectes d’intérieur, la tendance est claire: cette applique est perçue comme une pièce signature. Beaucoup la surnomment lampe-oeuvre, car elle dépasse le simple rôle d’éclairage d’appoint pour structurer le regard. Et pourtant, son format reste compact, ce qui la rend facile à intégrer dans nos appartements français.
Les mises en scène repérées sont parlantes. Au-dessus d’un buffet en chêne clair, elle souligne les objets posés en dessous, un peu comme un cadrage de musée. En duo de chaque côté d’une tête de lit en lin, elle offre un éclairage doux, idéal pour la nuit. Seule dans une entrée minimaliste peinte en terracotta, elle devient le repère visuel qui accueille - chaleureux mais discret.
Sur le plan pratique, sa conception coche les cases attendues en 2025: source LED à faible consommation, surface miroir sécurisée, luminosité réglable, montage simple. Son tarif de 79,99 euros permet un vrai saut esthétique sans projet lourd ni dépenses démesurées. C’est exactement ce que recherchent les foyers en quête d’un intérieur plus personnel, prêt pour l’automne, mais sans renoncer au confort.
Dernier point que les décorateurs glissent souvent à leurs clients: la puissance d’un objet sculptural tient à l’équilibre. On laisse respirer le mur, on limite les pièces concurrentes aux alentours, on garde un ou deux rappels de bronze - poignée, cadre, lampe de table - et le tour est joué. Le résultat donne ce petit supplément d’âme, entre maison à vivre et galerie d’art.